L'éducation est la clé du succès. Apprenez ici pleins d'information sur différents aspects des finances personnelles afin de vous aider à reprendre le contrôle sur vos finances et ainsi atteindre vos objectifs de vie!
vendredi 12 septembre 2014
Bon pour la santé. Bon pour la vie.
Cette semaine, je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous et vous serez dirigé vers des statistiques très intéressantes sur les chances de tomber malade vs de mourrir! Bonne lecture!
http://contact.actualis.ca/T/OFSYS/MS/3547/pE01H3/31000/fr-CA/Article.html?idArticle=954&Cat=1&Lang=fr&e=1&oft_u=12670&oft_sl=8744210&oft_sk=vByt9G5k&oft_dc=635461162231600000
vendredi 18 juillet 2014
Transformer 20$ par semaine en portefeuille de 306,000$, oui c’est possible!
Lorsqu’on
parle de placements, les mots clés sont : patience, constance et ténacité.
Oui, si vous n’êtes pas déjà millionnaire, créer un portefeuille prend du
temps. Il faut être patient! Bien sûr, vous pourriez prendre tout votre argent
et le jouer au casino à la roulette, mais l’idée n’est pas de « jouer »
votre argent, mais bien de la faire fructifier, car à la roulette vous pourriez
bien tout perdre. Lorsqu’on investit son argent, on tente de limiter les
risques. Il faut être constant; un bon exemple de constance lorsqu’on veut
augmenter son portefeuille est de procéder à des virements automatiques
directement de votre compte bancaire à chaque paie. Et finalement, la ténacité,
le marché fluctue continuellement et il peut être difficile pour certain de
voir leur portefeuille perdre une partie de sa valeur. Le plus important,
garder son sang-froid et même dans la limite du possible, profiter de la baisse
du marché pour investir davantage! Bref, j’imagine que vous en avez assez de ce
bla bla (qui est, soit dit en passant, très important), ce que vous voulez
réellement savoir c’est COMMENT? Comment peut-on transformer un simple 20$ par
semaine en un portefeuille de plus de 300,000$? Et bien en faisant preuve de
patience, de constance et de ténacité! Hahaha!
Un exemple concret
Imaginons
que vous avez aujourd’hui 30 ans et que vous décidiez d’investir 20$ par
semaine (ou 1,020$ par an) dans votre REER. Votre taux d’imposition marginal
est de 42%. Chaque année, le gain d’impôt réalisé est automatiquement
réinvesti. Comme nous savons que les marchés sont parfois à la hausse et
parfois à la baisse, prenons un scénario où le portefeuille rapportera en
moyenne 6% d’intérêt annuel jusqu’à votre retraite et 3,5% par la suite, jusqu’à
la fin du décaissement. Vous désirez prendre votre retraite à 67 ans et pensez
avoir besoin de vos revenus de retraite durant 18 ans, soit jusqu’à ce que vous
ayez 85 ans.
Pour
le détail des calculs, vous référer aux tables complètes au bas de l’article.
Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de lire mes articles précédents et qui
auraient de la difficulté à comprendre les tables, je vous invite à aller lire
les articles précédents où sont expliqués plus clairement les calculs).
Votre
investissement à la retraite aura une valeur de 231,878.27$, dont 193,398.27$
en intérêt.
Lorsque
vous aurez 67 ans, vous cesserez d’investir dans votre REER et commencerez à retirer
graduellement les sommes de votre portefeuille. Disons, à raison de 17,000$ par
an (à partir de 71 ans, les sommes seront transférées dans un FERR). Puisque
l’argent n’est pas entièrement retirée d’un seul coup, la balance restante dans
le portefeuille continue à générer des intérêts, qui au bout de 18 ans, auront
générés 74,121.73$ d’intérêts additionnels.
Donc,
vous investirez au total 38,480$ (20$ * 52 semaines * 37 ans) qui vous
rapportera 306,000$! Bien entendu, lorsque vous retirerez, à chaque année, les
sommes de votre REER (ou FERR) vous devrez payer l’impôt sur vos retraits
annuels de 17,000$.
Investissement
Décaissement
N’oubliez
pas que vous être unique et que la solution qui a si bien fonctionnée pour
votre beau-frère pourrait ne pas vous convenir, c’est pourquoi il est important,
avant de prendre des décisions importantes, d’en discuter avec son conseiller en
sécurité financière. Pour une même personne, de nombreuses situations sont
possible. J’ai parlé ici de REER, mais on aurait aussi pu parler d’autres
outils de placement. Le plus important est d’avoir une approche globale qui
tient compte des besoins réels de chaque client, de son profil d’investisseur
et de sa tolérance au risque.
Afin
de vous aider à prendre des décisions éclairées sur vos finances personnelles,
je vous invite à me contacter à l’adresse courriel suivante : srainville@sflmaisonneuve.com
ou au numéro de téléphone suivant 514-483-2070 #223.
samedi 21 juin 2014
Tombez en amour avec les REER!
Il y a 5 ans, lorsqu’on me parlait de REER, ça me donnait des brûlures d’estomac. À 22
ans, à peine sortie de l’école, copropriétaire d’un duplex et avec une voiture
neuve à payer, la dernière chose dont j’avais envie, c’était d’entendre parler
de REER ou de retraite. Premièrement, cette dernière ne viendrait pas avant une
quarantaine d’année et en plus, il était hors de question que je me prive des
derniers centimes que j’avais pu amasser à la sueur de mon front, en travaillant
une 2e job à mon compte, pour les placer dans un REER, où je ne
pourrais plus y toucher avant la retraite. Ma pensée était : « C’est
mon argent, je veux pouvoir en faire ce que je veux».
Je me rends bien compte aujourd’hui que j’aurais eu avantage à être
mieux informée. Si, plutôt que de vouloir m’acharner à rembourser plus
rapidement mon hypothèque, j’avais plutôt décider de cotiser à mon REER, c’est
plusieurs milliers de dollars supplémentaires que j’aurais économisé. Pour plus
de détails à ce sujet, voir l’article : « Pourquoi ne pas rembourser
mon hypothèque plus rapidement ».
Avantages
Cotiser au Régime Enregistré d’Épargne Retraite (REER) comporte
plusieurs avantages. Le premier et le plus important est le report d’impôts. En
gros, si vous gagnez un revenu de 55,000$ et que vous cotisez 5,000$ à votre
REER, vous aurez un revenu imposable de 50,000$; donc, vous paierez de l’impôt
sur 50,000$ plutôt que sur 55,000$. Une chose importante que les gens oublient
(ou ne réalisent pas), c’est que l’impôt sur le revenu est une dette que l’on
doit chaque année à la société, dette au taux marginal variant de 31% à 54.75%*
selon son revenu imposable. Donc, pour un placement de 5,000$ dans un REER,
avec un revenu imposable de 50,000$ et un taux marginal d’imposition de 42%
(22% au fédéral et 20% au provincial)*, c’est une économie d’impôt immédiate de
2,100$.
Un deuxième avantage important est que tous les gains réalisés à
l’intérieur du REER sont aussi avec report d’imposition. Ce qui veut dire que
tant que l’argent reste à l’intérieur du REER, celui-ci n’est pas imposable,
contrairement à un placement non enregistré où les gains de l’année sont
imposés dans l’année où ils sont gagnés.
Ceci a un énorme impact sur le placement car votre portefeuille grossira
beaucoup plus rapidement.
Ex : Placement non enregistré
Placement
enregistré (REER) – les gains sur impôts sont réinvestis dans le REER
Si le taux d’imposition au
retrait est aussi de 42%, la valeur nette du placement après 5 ans :
6,207.43$.
Un troisième avantage est les régimes fiscaux disponible grâce aux REER,
tel que le Régime d’Accession à la Propriété (RAP) pour aider les gens qui
veulent acheter une première maison ou encore le Régime d’Encouragement à
l’Éducation Permanente (REEP) pour aider les gens qui désirent retourner à
l’école à temps plein. Ces régimes permettent de retirer les sommes du REER
sans payer l’impôt à condition de rembourser dans les 15 ans suivants le
retrait (un remboursement annuel minimal est requis en fonction du montant du
retrait et du nombre d’année de remboursement restantes).
Un quatrième avantage est que, normalement, lors du retrait de vos
cotisations, votre revenu sera moins élevé que lorsque vous avez cotisé, et
idéalement sera dans une tranche d’imposition inférieure à celle que vous payez
aujourd’hui. Par exemple, si aujourd’hui votre revenu imposable est 50,000$,
vous aurez un taux marginal d’imposition de 42% alors que lorsque vous
retirerez vos cotisations, si vos revenus totalisent 40,000$, votre taux
marginal d’imposition sera de 31%*. Dans notre exemple précédent, nous avons
remarqué que même à taux d’imposition identique, il était avantageux d’investir
dans le REER, imaginez si votre taux d’imposition au retrait était moins élevé!
Mise en situation
Vous n’êtes toujours pas convaincu ou vous avez du mal à visualiser ce
que cela peut représenter? Voici une mise en situation qui vous fera voir les
économies qui peuvent résulter d’un placement REER versus un placement non
enregistré.
Jean a 50 ans et veut placer
5,000$ par année pendant 10 ans pour sa retraite. Il gagne 55,000$ par année,
son taux marginal d’imposition est de 42% et il s’attend à un rendement moyen
de 6% sur ses placements. Il se demande s’il devrait investir dans son REER ou
dans un placement non enregistré.
A) Option REER – Avec réinvestissement des sommes d’impôt économisées dans
le REER.
(Voir
le tableau plus bas pour les détails.)
Par contre, s’il décide de
retirer cette somme sur 5 ans, en plus de continuer à collecter des intérêts
sur le montant toujours dans son REER, l’impôt payé sera grandement diminué car
au lieu d’un taux marginal d’imposition de 51.75%, son taux marginal sera de
31% et le montant total gagné net sera de 87,730.40$.
Capital Investi :
50,000.00$
Gain sur impôt :
33,585.47$
Intérêts cumulé : 43,559.93$
Impôt payé : 39,415.00$
Total investiss : 87,730.40$ (Capital investi + gain sur impôt
+ intérêts gagnés – impôt payé)
B)
Option Placement non enregistré
(Voir le tableau plus bas pour
les détails.)
Si Jean décidait de placer son
argent dans un compte non enregistré, pendant la même période avec les même
taux, il ne pourrait bénéficier du report d’impôt ni pour la somme placée ni
pour les gains accumulés et il devrait payer l’impôt sur ces gains (ou intérêts
dans le tableau plus bas) à chaque année. Ceci réduirait le montant annuel
cumulé (puisqu’une partie sera déjà donnée au fisc). Par exemple, pour la
première année, il aura un gain de 300$, avant de pouvoir réinvestir ce
montant, mais comme il devra payer de l’impôt en fonction de son taux marginal
d’imposition, il ne lui restera que 174$ à réinvestir.
Après 10 ans, Jean obtiendrait un placement de
60,642.15$ net d’impôt. Par contre, si le placement est retiré sur 5 ans, grâce
aux intérêts qui continueront à s’accumuler, le montant total gagné net sera de
64,850.30$.
Capital Investi :
50,000.00$
Gain sur impôt :
0.00$
Intérêts cumulé : 25,603.97$
Impôt payé : 10,753.67$
Total investiss : 64,850.30$ (Capital investi + gain
sur impôt + intérêts gagnés – impôt payé)
Donc,
au final, si Jean décidait de retirer l’argent d’un seul coup, il ne serait pas
avantageux pour lui de l’investir dans un REER (il obtiendrait un total de
60,642.15$ dans son compte non enregistré vs 54,680.27$ de son REER). Par
contre, si ses retraits étaient étalés
sur 5 ans, il obtiendrait 22,880.10$
de plus avec son placement REER que son placement non enregistré
(87,730.40$ - 64,850.30$).
Les
comptes enregistrés, comme les REER et les CELI, ont de nombreux avantages par
rapport aux comptes non enregistrés. C’est pourquoi il est souvent judicieux de
maximiser leur utilisation. Par contre, il faut bien analyser ses besoins avant
de décider d’investir dans une ou l’autre de ces options. Par exemple, si vous
désirez placer de l’argent à court terme, ou pour un projet spécifique, le CELI
pourrait être une meilleure option que le REER. Vous auriez avantage à discuter
avec votre conseiller financier avant de prendre une décision, car celle-ci
pourrait avoir de lourdes conséquences fiscales.
*
Basé sur les taux d’imposition du Québec pour 2014.
samedi 14 juin 2014
Je suis officiellement conseillère financière!
Bonjour,
La plupart d'entre vous le savez sans doute, en 2014, j'ai pris la décision de réorienter ma carrière vers le domaine financier. Certains me disent que c'est tout un changement; personnellement, je trouve que c'était un choix logique. Voici un résumé mon parcours:
Les différents avantages:
Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à me contacter:
Stéphanie Rainville
T : 514-483-2070 #223
F : 514-483-3379
T : 1-877-483-2070
srainville@sflmaisonneuve.com
http://www.sflassuranceplacement.ca/
La plupart d'entre vous le savez sans doute, en 2014, j'ai pris la décision de réorienter ma carrière vers le domaine financier. Certains me disent que c'est tout un changement; personnellement, je trouve que c'était un choix logique. Voici un résumé mon parcours:
Cheminement
Depuis que je suis jeune, j'ai l'ambition de démarrer ma propre entreprise. Ne sachant pas par où commencer, ni comment m'y prendre, j'ai décidé, après le secondaire, de poursuivre mes études en Comptabilité et Gestion. C'est à ce moment que je me suis rendue compte que j'aimais beaucoup les chiffres, la planification de budget, faire des analyses, etc.
En terminant le Cégep, je ne savais toujours pas quelle entreprise démarrer alors j'ai décidé d'entrer sur le marché du travail. De plus, ma mère et moi avions, à ce moment, pris la décision d'acheter un duplex, l'argent devait donc entrer sur une base régulière. J'ai, comme on dit, commencé au bas de l'échelle, mais très rapidement su faire mes preuves auprès de mes employeurs; 4 ans plus tard, je devenais contrôleur de coûts dans une grande compagnie d'ingénierie. Durant ces 4 premières années, afin d"arrondir les fins de mois" - parce qu'une maison, disons le, ca coûte cher - j'ai démarré ma petite entreprise individuelle en comptabilité et j'y consacrais, en moyenne, une dizaine d'heures par semaine.
J'ai ensuite travaillé 3 ans (ou presque) comme contrôleur de coût - le titre exact était Responsable, chargée de contrats, mais ca voulait dire la même chose... c'était un très bon emploi, je travaillais pour une belle compagnie, avais un bon salaire et de bons avantages sociaux, j'appréciais énormément mes collègues, mais je ressentais un genre de vide. J'avais la mauvaise impression que mon travail n'avait pas de réelle contribution à la société et l'envie de faire quelque chose qui pourrait avoir une incidence directe sur la vie des gens. Aussi, l'idée de démarrer ma propre entreprise à refait surface; je me sentais prête.
Mais quoi faire? J'ai toujours eu un bon sens analytique, j'adore faire des budgets, calculer et comparer des scénarios, donc il était clair que je devais rester dans le domaine compable ou financier. C'est alors qu'à l'automne 2013, j'ai rencontré une conseillère financière et j'ai eu un déclic. Voilà, c'est en devenant conseillère financière que je pourrais réellement m'épanouir et aider les gens à atteindre leurs buts personnels et leur indépendance financière. C'est à ce moment que j'ai entrepris les démarches, j'ai rencontré quelques conseillers, j'ai aussi rencontré des directeurs de certaines compagnies et j'ai finalement arrêté mon choix sur SFL - Partenaire de Desjardins Sécurité Financière.
Pourquoi SFL?
Voici un court video de 2 minutes sur la compagnie.Les différents avantages:
- Le soutien d'un grand groupe (accès direct à des notaires, fiscalistes, spécialistes en Assurance
Collective, formations, encadrement grâce à un système de mentorat, etc.)
- L'exclusivité aux produits Desjardins
- L'autonomie d'être courtier indépendant - SFL n'offrent aucun produits, et bien que partenaire de
Desjardins Sécurité Financière, nous n'avons pas l'obligation d'offrir les produits Desjardins. Nous
avons la possibilité d'offrir les produits de la majorité des autres compagnies.
Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à me contacter:
Stéphanie Rainville
T : 514-483-2070 #223
F : 514-483-3379
T : 1-877-483-2070
srainville@sflmaisonneuve.com
http://www.sflassuranceplacement.ca/
dimanche 18 mai 2014
Pourquoi NE PAS rembourser son hypothèque plus rapidement ?
Non,
non, je ne suis pas tombée sur la tête. Je ne sais pas si vous vous classez
dans la catégorie de gens qui déteste les dettes, mais vous savez comme comme
moi à quel point il est parfois difficile de s’en débarrasser. On veut s’en
sortir au plus vite! Donc, lorsqu’on se fait offrir la possibilité de réduire
l’échéance de paiement de l’emprunt
hypothécaire de quelques années en investissant quelques dollars
supplémentaires par semaine ou par mois, ceci semble très intéressant. Surtout
considérant que l’emprunt hypothécaire représente souvent une dette dans les 200,000$1
échelonnée sur 20, 25 voir même 30 ans!
Nous
ne sommes plus à l’époque de nos parents; les taux d’intérêts sur les
hypothèques ne sont plus de 10 – 15%. L’économie actuelle joue en faveur des
investisseurs immobiliers grâce aux taux d’intérêts sur emprunts très bas alors
pourquoi ne pas profiter de cette baisse pour faire fructifier votre argent au
maximum?
Il est assez fréquent de se faire offrir par
les institutions bancaires d’augmenter la valeur des paiements hypothécaires
afin de rembourser l’hypothèque plus rapidement. La plupart d’entre-elles
offrent même la possibilité de rembourser jusqu’à 15% de la valeur totale de
l’emprunt chaque année. Les représentants de ces institutions essaieront de vous convaincre que ceci est
très avantageux et que vous économiseriez des dizaines de milliers de dollars
en intérêt et que vous réduirez la durée total de votre emprunt de quelques
années.
Attention,
bien qu’il soit vrai que de la rembourser plus rapidement pourrait vous faire
sauver des intérêts, vous devez savoir qu’il y a d’autres moyens aussi simple,
peu risqués et plus lucratif d’investir votre argent.
Ce
qu’il faut comprendre c’est qu’une banque est « une entreprise de commerce
de l’argent via des réceptions et avancements de fonds, des prêts, la gestion
de valeurs boursières2»; une ENTREPRISE. Comme toute entreprise, le
but principal est de faire de l’argent. Donc, lorsqu’ils vous encouragent à
payer plus rapidement votre hypothèque, la raison véritable n’est pas de vous
aider à augmenter votre avoir ou diminuer vos dettes, mais bien de collecter le
plus d’argent possible afin, soit de le réinvestir avec un rendement plus
élevé, de le prêter à d’autre clients avec un taux d’intérêt plus élevé ou
encore de rembourser leurs propres dettes.
Ceci
n’est pas mauvais en soi, c’est le principe même de l’économie; je ne blâme pas
les institutions financières. Par
contre, pourquoi laisser à d’autres la chance de faire fructifier votre argent
pour qu’ils prospèrent alors que vous pourriez le faire vous-même? Pourquoi
s’empresser de rembourser une dette de 3% - 4% alors que vous pourriez investir
votre argent et en plus réduire une
dette de près de 40%? En effet, chaque année les gouvernements provincial et
fédéral réclament des impôts sur la valeur totale de vos revenus. En 2014, une
personne qui gagne 50,000.00$ sera imposée à 20% au provincial et 22% au
fédéral. Ce n’est pas négligeable. Au moins, les gouvernements ont mis en place
des régimes fiscaux, dont le Régime Enregistré d’Épargne Retraite (REER), qui
en plus d’être un bon moyen de s’assurer des revenus à la retraite, permet à
court terme de réduire le montant d’impôt payé.
Finalement,
il faut penser que le fait de rembourser son hypothèque avant le terme pourrait
causer des problèmes de liquidité, car l’argent investi sur la maison ne peut
généralement être récupérée que par la revente de la maison (ou en
ré-hypothéquant la maison, ce qui n’est pas souhaitable), tandis que l’argent
investie dans un REER, CELI ou autre placement est beaucoup plus liquide
(disponible plus rapidement et facilement).
Plutôt que de rembourser son hypothèque plus rapidement, Guy se demande s’il serait préférable de l’investir dans son REER. Il a une hypothèque pour 200,000.00$ avec un taux d’intérêt de 4%. Le prêt à été signé pour une période de 5 ans et il devra rembourser la totalité sur une période de 25 ans.
Voici
ce que lui propose son institution bancaire. Dans le premier tableau, le paiement régulier de 1,055.57$ par mois.
Dans le second tableau, chaque paiement mensuel est augmenté d’un montant
supplémentaire de 60$. Au bout des 25 années d’emprunt, Guy aura économisé
11,556.80$ d’intérêts et l’hypothèque sera complètement remboursée après 275
mois, soit 23 ans, une économie de 2 ans de paiement!
Disons
maintenant qu'il décide d’investir le même 60$ par mois dans son REER plutôt que
sur son hypothèque. Il estime que ce dernier devrait lui rapporter un rendement
moyen de 4% (Bien sur dans la réalité, le rendement du placement sera variable
en fonction des fonds choisis et des fluctuations des marchés (boursiers, de
change, etc), mais pour simplifier l’exercice, nous emploierons un rendement
moyen)**.
**Afin
de démontrer que même à taux égal cette solution demeure plus avantageuse, j’ai
choisi le même taux de rendement pour le placement que le taux hypothécaire et afin de faciliter le calcul des intérêts, ceux-ci ont été comptabilisés de
façon annuelle. Le taux d’imposition est de 42%. Finalement, considérons que l’économie
d’impôt engendrée sera directement réinvestie dans le REER.
Voici
le résultat :
Après
5 ans, le REER de Guy aura accumulé 6,454.60$ et après 25 ans, c’est 51,956.22$
qu’il aura accumulé. Aussi, vous pouvez remarquer qu’à partir de la 13e
année, le montant d’intérêt annuel gagné est supérieur au montant de capital
investi (en jaune)! C’est l’effet que provoque l’intérêt composé.
Bien
sûr, vous pourriez insister sur le fait que lorsque Guy retirera les sommes de son
REER, celles-ci seront imposables et vous auriez tout à fait raison. Il est
impossible de savoir quel montant et quel taux d’imposition seront utilisés à
ce moment, mais on peut élaborer 2 scénarios.
Scénario 1 (solution défavorable) : Si Guy
décidait de retirer la somme totale de son REER, au taux d’imposition de 42%,
il devrait payer 21,821.61$ d’impôt et
il lui resterait 30,134.61$ net (51,956.22$ - 21,821.61$). Ce qui représente
tout de même 18,577.81$ de plus que le 11,556.80$ d’économies proposé par votre
institution bancaire!
Scénario 2 (solution optimale) : Si Guy
décidait de retirer la somme de son REER sur 5 ans, en plus de réduire son taux
d’imposition marginal à 31%, les sommes conservées dans le REER continueraient
à faire des intérêts, ce qui serait encore plus profitable. De cette façon, il
ne paierait que 17,422.58$ d’impôt et avec les intérêts supplémentaires
accumulés, il bénéficierait d’un montant net de 38,779.30$.
Récapitulatif
Ce
qui est important de retenir, c’est que, contrairement à la croyance générale,
du point de vue financier, rembourser son hypothèque plus rapidement n’est pas
toujours la meilleure chose à faire. Par contre, lorsque les taux d’intérêt sur
emprunts sont très élevés, il peut devenir plus avantageux de le faire.
Un
autre point à noter, comme aujourd’hui les taux d’intérêts sont très bas, les
taux d’intérêts sur placements le sont (malheureusement) aussi. Donc, une personne
qui a une tolérance au risque très faible et qui préfère investir dans des
titres du marché monétaire aurait sûrement avantage à rembourser son hypothèque
plus rapidement puisque ceux-ci vont probablement lui rapporter entre 0,2% et
2% selon l’échéance de son placement.
Finalement,
chaque situation est différente, c’est pourquoi il est recommandé de rencontrer
un conseiller financier pour voir quelle option vous convient le mieux.
1- En
2013, le prix de vente moyen d’une maison unifamiliale était de 257,565$. On
parlait de 248,067$ pour les copropriétés et de 353,296$ pour les Plex (2 @ 5
logements) Source : Le Baromètre MLS® du marché résidentiel, 4e
trimestre 2013, Fédération des
chambres immobilières du Québec.
2- http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/banque/
samedi 10 mai 2014
Investir dans un Fond Commun de placements?
·
Qu’est-ce
qu’un fonds commun de placement?
Il existe de nombreux types de fonds. Ceux-ci sont gérés par des gestionnaires de portefeuille afin de répondre aux besoins des investisseurs, notamment au niveau des objectifs de placement, de la tolérance au risque et de l’horizon temporel de ces derniers. Par exemple, une personne de 30 ans qui désire commencer à placer de l’argent pour sa retraite n’aura vraisemblablement pas les mêmes besoins qu’une personne de 62 ans qui prendra sa retraite dans 5 ans.
·
Les avantages d’investir dans un fonds commun de
placement :
o
Gestion
professionnelle : Les fonds communs sont gérés par des
gestionnaires de portefeuilles qui sont responsable des décisions de placement
du fonds. Grâce à leur expérience et des outils perfectionnés, ces spécialistes
sont en mesure de faire des recherches
approfondies sur les différents marchés et titres afin de prendre les
meilleures décisions possibles. Ce sont eux qui sélectionnent les titres
correspondant aux objectifs du fonds.
o
Facilité d’accès : Beaucoup de
fonds communs offrent à possibilité d’investir des sommes initiales aussi
petites que 500$ avec la possibilité de faire des versements additionnels de
25$ ou 50$. La plupart offrent aussi la possibilité de faire des virements
automatiques à chaque période de paie ou à chaque mois. Il est donc très facile
de commencer à épargner. De plus en plus de fonds sont maintenant sans frais d’achat,
ce qui permet de faire augmenter son investissement beaucoup plus rapidement.
o
Diversification : Les
fonds communs proposent un moyen facile et abordable d’avoir accès à une très
grande variété de placements qui seraient très difficile d’acquérir et de gérer
individuellement. De plus, il serait financièrement difficile pour un individu
d’investir dans chaque titre inclus dans un fonds commun. Le fait de
diversifier son portefeuille en limite grandement les risques de fluctuation. A
noter que la valeur totale d’un fonds commun de placement peut varier entre
quelques centaines de milliers à plusieurs centaines de millions de dollars.
o
Flexibilité : Les fonds
communs offrent des solutions pour tous les types d’investisseurs. Ceux-ci
peuvent facilement transférer l’argent de fonds à mesure que leurs besoins changent.
o
Liquidité : Les parts de
fonds communs peuvent habituellement être achetées et vendues chaque jour.
L’investisseur peut donc s’attendre à recevoir les produits d’une vente dans
les trois jours ouvrable suivant la transaction. Certaines exceptions
s’appliquent, il est important de lire le prospectus du fonds pour connaitre
les modalités d’achats et de vente.
Les frais liés aux fonds communs de
placement
Comme
nous l’avons vu précédemment, les fonds communs de placements offrent de
nombreux avantages et malheureusement, ces avantages ne sont pas gratuits. Vous
pourriez entre autre être amenés à payer des frais d’achat, des frais de rachat
et/ou des frais de gestion.
Frais d’achat : ou frais d’acquisition.
Frais variant entre 1% et 5% de la valeur du montant d’achat de parts et sont
versées par l’investisseur au distributeur lors de l’achat de parts. Ces frais
peuvent souvent être négociés, surtout si vous investissez un gros montant. A
noter que certains fonds ne chargent aucun frais d’achat.
Frais de rachat : ou frais de vente.
Frais variant entre 1% et 9% de la valeur du montant racheté et payés au moment
du rachat. De nombreux fonds offrent une option de frais de vente différés (ou reportés);
ce sont des frais de rachat qui diminuent progressivement tout au long du
placement. Ex : la première année des frais de 7%, la 2e année
des frais de 6%, la 3e 5%, etc. jusqu’à 0%.
Frais de gestion : Les
coûts associés à la gestion et à l’exploitation du fonds sont calculés selon
les coûts totaux engagés au cours d’une année sur la valeur moyenne du fonds
durant cette même année. Chaque fonds est géré individuellement, on peut
s’attendre à payer entre 1% et 2% en frais de gestion et ceux-ci sont
directement déduits du rendement global du fonds. Donc, si un fonds offre un
rendement global de 10% et comprend un ratio de frais de gestions de 1,5%, les
investisseurs obtiendront un rendement de 8.5% sur leur portefeuille. C’est
pourquoi il est très important, avant de choisir un fonds, d’en prendre
connaissance.
Il faut faire
attention par contre, ce n’est pas parce qu’un fonds commun comprend un frais
de gestion élevé qu’il ne doit pas être choisi, car il pourrait offrir certains
avantage que d’autres fonds n’offrent pas. Par contre, pour 2 fonds qui offrent
des titres et des avantages semblables, il serait plus adéquat de choisir celui
avec les frais de gestion les moins élevés.
Les frais de
gestions comprennent : la commission du gestionnaire de portefeuille, les
frais d’intérêts et taxes, les honoraires comptables et juridiques, les frais
de tenue de dossiers des épargnants, etc.
Tous
les frais à payer sont indiqués dans le prospectus du fonds et doivent être
pris en compte avant de décider d’investir dans ce fonds. De plus en plus de
fonds communs de placement sont vendus sans frais d’achat ou de rachat, mais tous les fonds contiennent des frais de
gestion. Parlez à votre conseiller pour
plus d’information sur les Fonds Communs de placement et la façon d’y investir.
samedi 3 mai 2014
Le secret pour devenir riche
La richesse d’esprit, c’est bien beau,
mais ce que l’on veut, c’est de l’argent! Malheureusement, il n’y a pas de
formule magique pour s’enrichir, et bien que l’argent se classe parmi le top 5 des
choses les plus importantes dans la vie des gens (avec la famille/amis, la
santé, la carrière et le bonheur), celui-ci est souvent très bas dans la liste
des priorités...
Bien des gens ont peur de connaître
leur situation financière réelle, ils préfèrent se cacher la tête dans le
sable plutôt que d’affronter la situation. Et la vie passe et ils sont frustrés;
frustrés d’avoir travaillé si fort et d’avoir tant de dettes et si peu
d’économies.
Une chose importante à comprendre,
c’est que l’être humain n’est jamais satisfait et désire toujours plus, et ceci
s’applique particulièrement à l’argent. Aussi, la notion de richesse est très
relative. En effet, une personne qui n’a pas de placements et beaucoup de
dettes considèrera peut-être que d’être riche signifie ne plus avoir de dettes.
Pour une personne qui n’a pas de dettes mais pas de placements non plus, être riche signifie peut-être avoir plus de 100,000$ de
placements et la personne qui possède 100,000$ ne se considère probablement
pas riche et estimera que pour être riche une personne doit posséder au moins
1,000,000$ de placement et ainsi de suite.
Ce que je propose ici, ce sont des
trucs à mettre en application afin d’augmenter votre capital. Plus vous serez
en mesure d’appliquer ces conseils, plus votre valeur nette augmentera
rapidement. Malheureusement, il faudra faire des efforts et faire preuve de
discipline, de patience et de persévérance, surtout au début. Selon moi, les 2
premières années seront les plus difficiles, après cela la routine sera bien
installée et votre capital commencera à fructifier, et vous commencerez à voir les résultats concrets de vos efforts.
Il n’y a rien de nouveau ni de
magique dans les conseils que je vous donne ici, et ils sont si simple que vous
les trouverez sans doute anodins, mais ils sont très efficaces
et, avec un peu de volonté, ils vous permettront d’atteindre vos buts et
objectifs de vie.
1-
Diminuez vos dépenses.
Les gens
riches qui le demeurent tout au long de leur vie dépensent moins qu’ils ne
gagnent, c’est prouvé. Un des principaux moyens d’augmenter son avoir est
d’arrêter de le dépenser n’importe comment et de se concentrer sur l’essentiel.
Bien sûr, la magnifique table de salon en bois sculptée à 3,000$ est vraiment
magnifique, mais en avez-vous vraiment besoin? Avez-vous les moyens de vous la
procurer? Diminuer vos dépenses n’est pas synonyme de se priver, mais plutôt de
réfléchir avant d’acheter et d’éviter les dépenses folles. Vivez selon vos
moyens!
Astuces
·
Attention aux frais de banque qui peuvent être très
coûteux : vérifier si vous pouvez avoir un meilleur forfait mensuel, attention
aux chèques sans provisions (si cela se produit souvent, peut-être auriez vous
avantage à vous procurer une marge de crédit), évitez les retraits dans des guichets
« ATM », etc.
·
Avant d’acheter, réfléchissez. En avez-vous vraiment
besoin? Allez-vous l’utiliser? Pouvez-vous reporter l’achat à plus tard
(peut-être attendre qu’il soit en solde)? Avez-vous vérifié si d’autres
magasins offraient le même produits (vous pourriez le trouver moins cher
ailleurs), pouvez-vous l’acheter usagé?
·
Évitez les coups de cœur, si un article vous
« tombe dans l’œil », ne l’achetez pas tout de suite, prenez le temps
de retourner à la maison et d’y réfléchir. Si vous n’avez pas le courage de
retourner au magasin le chercher, c’est probablement que vous n’y tenez pas
tant que ca.
· Faites des listes de ce que vous avez besoin et et
achetez uniquement ce qui se trouve sur votre liste.
·
N’achetez pas si vous n’avez pas les moyens de le
payer. Si vous passez beaucoup de transactions sur votre carte de crédit,
assurez-vous d’être en mesure de la payer en totalité avant la date limite. Même
si vous payez une partie du solde de votre carte, les intérêts chargés pour le
mois sont calculés sur le montant total de votre facture.
·
Si vous êtes souvent à crédit, pensez à vous procurer
une carte avec un taux d’intérêts moins élevés. Elles sont offertes dans la
plupart des institutions financières et même si elles ont souvent un coût
annuel, faites le calcul de combien vous épargneriez en intérêts, souvent la
valeur épargnée compensera le coût après quelques mois.
2-
Augmentez vos revenus
Le fait
d’augmenter vos revenus pourraient vous aider à rembourser plus rapidement vos
mauvaises dettes et atteindre plus rapidement vos objectifs.
Astuces
·
Si votre entreprise offre la possibilité de faire des
heures supplémentaires, faites-en quelques une par semaine lorsque votre
horaire vous le permet.
·
Si vos dépenses sont plus élevées que votre revenu,
vous pourriez envisager un second emploi à temps partiel afin de combler le
manque. Il est de plus en plus populaire pour les gens de transformer leur
passe-temps en activité lucrative.
3-
Économisez
Vous avez
réussi à diminuer vos dépenses et/ou augmenter vos revenus, bien! Maintenant,
il faut commencer à placer l'équivalent avant que la tentation soit trop forte de recommencer à
dépenser sur un coup de tête. Lorsqu’on a des fonds disponibles dans le compte
de banque, on se crée de nouveaux besoins illusoires (on confond souvent en "avoir besoin"
avec en "avoir envie").
Astuces
· COMMENCEZ DÈS AUJOURD’HUI. Le plus tôt vous
commencerez à économiser, plus vous ferez preuve de discipline, plus vous
pourrez profiter de l’effet boule de neige que procure l’intérêt composé et
plus vous pourrez atteindre vos objectifs facilement et sans vous priver. Ceci
peut vous sembler anodin, mais le même 5,000$ investi sur 5 ans pourrait vous
rapporter un rendement global de 46% alors que sur 20 ans il pourrait prendre
plus de 460% de valeur (avec un taux de rendement annuel moyen de 8%). Pour plus de détails, consultez la chronique :
« L’horloge tourne, commencez à épargner dès aujourd’hui! ».
·
N’attendez pas d’avoir accumuler une somme importante
pour l’investir car la réalité c’est que vous ne l’aurez probablement
jamais. Procédez plutôt par virement automatique à chaque paie. De cette façon,
vous serez certain de le faire en plus de pouvoir profiter de l’effet
exponentiel de l’intérêt composé plus rapidement. De plus, il deviendra de plus
en plus facile de gérer votre budget avec la balance.
·
Il est recommandé d’économiser 10% du revenu gagné;
que ce soit pour un fonds d’urgence, pour un projet spécifique comme l’achat
d’une maison, pour un projet à plus long terme, comme la retraite ou encore pour vos assurances vie et invalidité. Payez-vous en premier car vous risquerez d'oublier.
4-
Allégez votre fardeau fiscal
Plusieurs
outils ont été mis à la disposition des citoyens afin de les aider à épargner
tout en réduisant leur fardeau fiscal. Le REER est l’outil le plus connu et le
plus populaire sur le marché. Les gens savent mais ne réalisent pas toujours que
c’est entre 31% et 54,75% d’impôt qu’ils devront rembourser au gouvernement (taux 2014).
Heureusement, il existe des outils permettant de réduire cette dette, alors il
est important d’en maximiser l’utilisation.
Astuces
· Investissez le maximum dans votre REER et votre CELI.
Dans le Vous pourrez utiliser jusqu’à concurrence de votre cotisation maximale mais
pourrez aussi reporter indéfiniment votre droit de cotisation si vous avez
atteint votre maximum où si c’est plus avantageux de le faire.
·
Parlez à votre conseiller financier pour voir si
d’autres outils pourraient convenir à votre situation. Que ce soit le CELI, le
REEE, le REEI ou autre, ils pourraient vous aider à atteindre vos objectifs
plus rapidement.
Alors voilà, quatre conseils très
simples afin de vous enrichir. À chaque étape de votre vie, vous ferez face à
des situations qui vous permettront parfois d’épargner davantage, parfois
d’épargner moins, mais l’important est surtout de continuer à le faire et à garder vos bonnes
habitudes. Rappelez-vous : un peu vaut mieux que pas du tout! Aussi, vous
vous remercierez si vous n’avez pas à faire des sacrifices importants à l’aube
de votre retraite.
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